PROFIL- MP PROFIL- MP PROFIL- MP •• Il semblerait qu'une chèvre ou bien un bouc, personne ne sait vraiment de quoi il s'agit, se balade dans les couloirs du château. Parfois même, des élèves affirment entendre le rire mesquin de cette maudite bestiole sans jamais pouvoir mettre la main dessus. Le directeur affirme pourtant qu'aucune chèvre ou bouc ne se balade dans les couloirs. Affaire à suivre.

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 blanche crane hopkins × done

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AuteurMessage
Blanche C. Hopkins
Lionne Originelle
Blanche C. Hopkins
Messages : 54
Lionne Originelle
MessageSujet: blanche crane hopkins × done   blanche crane hopkins × done EmptyMer 11 Jan - 15:03


Lignée •
moldue
Famille •
fille unique
Particularité •
animagus
Animal de compagnie •
chouette hulotte
Année d'étude •
troisième année
Lieu de naissance •
londres
Maison   •
gryffondor
Date de naissance  •
21 mars 1836
Baguette •
en bois d’orme doté pour coeur d’un ventricule de dragon, d’une longueur de trente centimètre, assez rigide. aperçu de sa baguette
Patronus •
cygne
Epouvantard •
encore inconnu mais lié à son animagus
Amortensia •
 une subtile odeur de menthe et de pomme à l’aube d’une journée pluvieuse.
blanche crane hopkins

Physique ϟ
× tu es de taille relativement normale pour ton âge
× et fine par obligation
× très rarement bien coiffée à Poudlard
× tes cheveux sont assez court mais ça va
× tu portes avec plaisir son uniforme plutôt que les robes exigées par tes parents
× et aime d’amour la cape portée par les sorciers
× la couleur de tes yeux est changeante, tantôt sombre tantôt clair, mais ça, ce n’est qu’un effet de lumière
× et tes cheveux sont bruns
× ta couleur préférée est le noir
× tu tentes toujours de rester simple
× mais aussi de porter au moins un élément qui te viens de chez toi afin de ne pas perdre contact avec ta réalité moldue
× ta baguette est plus longue que ton avant bras
× tu fais environ 146 centimètres pour 42 kilo
× tu est assez pâle mais tu le vis bien aussi
× tes doigts sont fins, tu as des mains de pianiste après tout
× tu as une tache de naissance en dessous de l’oreille droite
× et tes cheveux sont presque jamais attachés, d’une manière ou d’une autre
× tu as la fâcheuse tendance d’accompagner ses paroles avec des gestes
× quand tu es nerveuse, tu vas souvent aller te gratter le cou et baisser légèrement ta tête bien que tu ne le réalises pas
× tu n’es pas très bijoux mais tu porteras forcément au moins une fois ceux qu’on t’offre
× la liste s'allongera sûrement au fur et à mesure tho


Caractère ϟ

× tu es têtue blanche et on te le répète souvent. contrairement à ce qu’on voudrait de toi, tu es décidée et tes opinions sont bien tranchés ce qui te rends difficilement sympathique aux yeux de ceux qui te voudraient plus docile. tes parents par exemple. ils sont souvent horripilés par ton attitude n’est-ce pas ? comme cette fois où tu avais refusé de t’habiller des vêtements conseillés par ta demoiselle de chambre. pour une raison que tu ne te rappelles plus aujourd’hui, tu avais détesté ce moment et cette tenue et tu n’avais pas hésité à t’exprimer. ton père avait rapidement haussé la voix te faisant comprendre que ton rôle à toi, c’était de te taire. depuis, tu excellais dans l’art des répliques désobligeantes. en tout cas, c’était plus efficace que de simplement te plaindre et aboyer aux oreilles de tous.

× mais pourtant, tu n’es pas une personne aussi fermée d’esprit que ce que les autres semblaient penser. tu aimais écouter le point de vue de ton entourage afin d’en savoir plus sur eux même. parfois, bien sur, tu n’acceptais pas l’opinion de la personne qui te faisait face et tu t’appliquais alors à lui montrer ce qui ne te plaisait pas dans son raisonnement. alors parfois tu t’énervais, mais au final, c’était assez rare… dans le monde moldu. en trois ans et en présence de sorciers parfois élitiste, tes nerfs étaient souvent mis à rude épreuves mais au final, tu l’aimes bien ce monde qui est désormais le tiens. peut-être plus que celui dans lequel tu avais passé toute ta vie jusqu’à présent, mais tu te sentais tellement plus à l’aise dans ce monde où la norme n’avait pas sa place.

× car au final, c’est ce que tu es blanche, n’est-ce pas ? une « sorcière », un monstre aux yeux des moldus avec lesquels tu as toujours vécu. un suppôt du diable et une créature maléfique née pour corrompre l’âme des êtres bienveillant. une abomination qui ne devrait pas exister. c’est ce que tu pensais de la magie toi aussi, avant, quand tu ne savais rien de la réalité de leur monde à eux, sorciers. tu croyais les paroles évangélistes que te répétaient tes parents et l’église. mais après tout, n’ignorais tu pas tout de ce monde ? maintenant que tu le connais, les choses les plus sombres pour des yeux humains prennent pour toi un tout autre sens. tout ça n’est pas pareil pour quelqu’un qui aurait vécu entouré de sorts et de magie, mais toi, toi blanche, tu étais née restreinte par les idéologies humaines et tout ce que tu découvres change considérablement le monde dans lequel tu vis.

× tu es d’ailleurs souvent perdue entre ces deux univers qui s’opposent totalement. ton sang faisant de toi une humaine des plus ordinaire, tout semblait te vouer à n’être qu’un ornement dans la collection d’un homme influent mais pourtant, la magie change désormais les choses. la magie t’offre un avenir différent désormais. tu as une chance de devenir autre chose que « blanche, épouse de… ». ce n’est pas ce que tu veux après tout. tu aimerais bien devenir quelqu’un de fort, assez fort pour soutenir ceux qui en ont besoin et changer les opinions. mais pour l’instant, tu es tout de même loin de ça. car après tout, tu restes une enfant.

× les enfants ne sont pas ceux qui réalisent de grandes choses après tout. à moins que les choses soient différentes dans ce monde ci, mais tu en doutes légèrement. et puis, pour l’instant, tu voulais aussi t’amuser. être légèrement plus libre. profiter de la présence d’inconnus dans un monde où la caste sociale humaine n’a pas sa place. ici, à poudlard, tu n’étais que « blanche crane hopkins, une élève de gryffondor aux origines moldues ». c’est tout. pour une fois dans ta vie, tu avais la chance d’être au même niveau que les autres et tu trouvais cela tellement agréable, tellement jouissif en un sens, que parfois tu oubliais tes priorités.

× bien que ce soit très rare au final, tu oubliais parfois que ta vie n’était pas un simple rêve éveillé mais bien une réalité immédiate. mais il était si simple pour toi de penser que tout ça n’était que le fruit de tes fantaisies, après tout, ce n’était pas ici que tu avais grandis et tu n’y vivais pleinement que depuis trois ans à peine. deux ans que tu avais découvert que tu pouvais pratiquer la magie. deux ans seulement que les choses avaient changées et deux ans, c’est très peu dans toute une vie. alors parfois, tu te laissais bercer par la magie qui t’entourait afin d’oublier à quel point les choses pouvaient être injustes quand on naît en tant que mortel dénué de toute particularité. un peu comme toi, avant tout ça.



Histoire ϟ ta famille est moldue blanche, si moldue et toi tu étais si bizarre, si étrange à leurs yeux. ils te regardaient souvent avec cet air perdu, cet air si… si cruel. ce n’était pas comme s’ils te reniaient, oh non, ils tenaient bien trop à leur image pour te traiter comme une inconnue et expliquer à leur entourage ce que tu étais, c’était bien trop compliqué de toute manière. ils n’étaient pas bien riche pourtant, mais faire partie de la petite bourgeoisie était sûrement l’une de leur plus grande fierté et il était hors de question que tu sois celle qui gâcherait tout ça, après tout blanche, tu n’étais qu’une fille. tu devais porter des robes, sourire et parler poliment afin de te trouver un bon parti. tu avais été éduquée comme ça. tu appartenais à ton père qui t’offrirait à son futur gendre dans l’unique but de voir sa richesse grandir. tu le savais.

mais tu avais du temps. tu n’étais encore qu’une enfant blanche, tu avais le temps avant d’appartenir à quelqu’un que tu n’aimerais certainement pas. quelques années, tout au plus, mais pour toi, c’était d’une importance capitale. tu voulais profiter de ta maigre liberté autant que tu le pouvais. tu voulais aimer et t’amuser avant de devenir la jolie petite décoration d’un autre homme. tu serais la pièce maîtresse dans la maison de celui qui ne voulait de toi que le corps et la descendance. tu ne voulais pas, oh non. alors parfois, pour te sentir plus libre, tu coupais tes robes plus courtes, tu délaissais tes bas et quand père se faisait absent, tu quittais ta crinoline pour te sentir plus libre.

mère te reprenait souvent, te priant de bien vouloir cesser tes enfantillages et de grandir. tu étais vouée à de grandes choses te disait-elle le soir alors qu’elle prenait soin de te brosser les cheveux. tu ne la croyais pas. tu étais une fille après tout. juste une fille, sans statut, sans reconnaissance, juste un objet utilisé par les hommes afin de grandir leurs égos insatisfait. mais au fond de toi, tu savais que certaines femmes étaient heureuses malgré tout. elles se faisaient choyer et entretenir afin de satisfaire au mieux les désirs excentriques de leurs maris plus riches les uns que les autres. tu n’étais qu’une petite bourgeoise, tu savais que tu ne serais pas de celles là. grand bien t’en fasse à toi, demoiselle hopkins.

tu étais un petit oiseau en cage, une petite créature délicate à laquelle on apportait une affection distante de peur de faire quelque chose de mal. enfin, c’est ainsi que les autres te voyait. tu étais la fille des hopkins, la fille bien aimée d’une famille aux revenus plus que satisfaisant. tu ne devais pas être abîmée, tous le savais. tu aurais été un petit garçon, on t’aurait demandé d’affirmer ta supériorité, mais toi, toi blanche, tu devais juste être jolie, ton statut de protégeait déjà de toute atteinte. qu’est-ce que tu haissais cela. toi aussi tu voulais te battre, rentrer couverte de boue, salir le beau parquet ciré de votre maison, tu voulais que ton père passe sa main dans tes cheveux pour les décoiffer.

tu voulais tant être une enfant, blanche. mais tu n’en avais pas le droit. tu devais suivre l’exemple de ta mère. on te le disait souvent. « suis ta mère ma tendre enfant, tu es vouée à de grandes choses. » ou bien « et bien, ma chérie, n’a tu donc rien retenu des leçons de ta très chère mère ? elle est très douée tu sais, suis son exemple et ta vie sera bien faite. » mais tu t’en moquais toi. tu n’étais en rien comme ta mère. tu n’avais même pas ses jolies anglaises naturelle. toi, on te tressait les cheveux dans l’espoir qu’un jour tes cheveux soient les même que ceux de ta génitrice. mais souvent, tu te levais le lendemain avec des ondulations si laides aux yeux du monde qu’on se dépêchait pour te les nouer d’une manière à cacher ta honte.

tu les haïssais. non. tu haïssais la société qui t’obligeait à paraître ainsi, vêtue et parée de la mince richesse de ton géniteur. tu devais être la plus jolie. la plus sage. la plus docile. la première choisie parmis les nombreuses demoiselles de ton rang. et alors que tu bouillonnais sans pouvoir rien faire, ton corset s’était brisé sans raison lors d’une énième réunion familiale. père s’était levé le visage rouge. mère avait posé une main polie au devant de ses lèvres. ta tante charity avait laissé échapper un petit cri de surprise et ton oncle s’était empressé de la faire taire en minant une quinte de toux légère. toi, tu t’étais levée brusquement, libérée du poids énorme que représentait ce corset ancien fait de fanon de baleine. ta taille s’était alors révélée moins fine que ce qu’on voulait que tu prétendes. alors tu t’étais faite congédiée sans ménagement. plus tard, on remit l’incident sur l’usure du sous vêtement ancien. tu te réjouissais en cachette. tant que mère n’en demandait pas de plus récents pour éviter de futures disgrâces, tu étais sauve.

tu n’avais eu que deux petits jours de répit. deux jours pendant lesquels tu avais respiré à plein poumon, courant joyeusement dans les jardins au plus grand désespoir de ta mère. « n’apprendras-tu jamais, blanche, à te tenir comme il sied à une demoiselle de ton rang ? » disait-elle parfois et toi tu t’en moquais, trop heureuse de cette fugace sensation de liberté. on t’avait reprise, encore et encore et tu enchainais les sermons de la part de père qui s’agaçait de voir sa fille unique - le seul objet d’une prochaine richesse et d’une descendance assurée - s’agiter autant qu’un homme.

« ce n’est pas digne de ton rang, reprends toi. »

« te prendrais tu pour une de ces guenons qui courent les rues et les champs, blanche ? cesse donc tes sottises et tiens toi convenablement veux tu. »

« tu outrepasses tes droits mon enfant. si tu ne te reprends pas, aucun homme ne voudra de toi et ce sera la fin de notre lignée. je te suggère de reconsidérer ton rang et ta place. »

« il suffit maintenant. tu passeras les prochains jours dans ta chambre aux côtés de ta préceptrice. abigail, conduisez là. »

il n’y avait dans ses propos ni amour, ni tendresse. il n’y avait dans son regard aucune étincelle de chaleur. tu n’étais pas sa fille, tu étais l’objet de sa prospérité et de sa longévité. grâce à toi, il s’assurerait un futur stable et de quoi remplir allègrement sa panse. tu le trouvais répugnant. pourtant, il avait tout d’un bel homme, ton père. il était grand et sa stature était aussi ferme que bien dessinée. son visage exprimait une éternelle satisfaction. ta mère était l'accessoire ultime à sa beauté. silhouette gracile, cheveux idéalement bouclés, une poitrine ferme. elle se tenait toujours droite, avec dignité et élégance, comme on le lui demandait. et puis tu étais là toi. petit oiseau si gracieux pour ton âge. le bijou de leur mariage. le clou final de leur relation.

parfois, on lui demandait pourquoi il avait refusé de donner naissance à un fils. mais une fois, il te l’avait dit à toi. un fils aurait été trop fier, trop impétueux. il aurait été capable de trop de dégâts. toi, tu étais la fille idéale. tu étais jolie. tu saurais faire prospérer votre famille même si votre nom devait se perdre. il était prêt à prendre ce risque. il était fou. puis vint ce jour, quelque peu avant tes onze ans.

si on s’en fiait simplement à la date, il s’agissait d’un jour parmis tant d’autre, un jour des plus ordinaires. l’un des hommes de ton père était revenu le courrier en main, il avait croisé le postier en chemin avait-il dit. tu te souviens des petits gestes gênés de celui ci. il avait relevé ses manches puis passé sa main derrière son cou avant de se pencher vers ton père pour lui adresser quelques mots. ton père avait levé les yeux de son plat pour les poser sur toi.

« tu as reçu une lettre, blanche. »

tu avais posé tes couverts sans dire un mot, légèrement surprise de recevoir du courrier alors que tu n’avais envoyé aucune lettre dans les derniers jours. tu t’étais saisie de l'enveloppe que ton père te tendait en te promettant de l’ouvrir plus tard, une fois que tu aurais terminé toutes tes leçons et que tu pourrais librement te reposer dans le boudoir. tu devais finir de lire cet oeuvre qu’on t’avait conseillé aussi. une fois que chacun eu fini son repas, on t’autorisa à quitter la table pour rejoindre tes professeurs dans une longue après midi qui n’avait rien à envier à celles qui précédaient. une fois de plus, on attendait de toi des résultats proche de la perfection et encore une fois, tu n’arrivais jamais à la hauteur des attentes qu’on avait pour toi. alors une énième fois, tu décevais l’un de tes proches qui soupirais en ta présence. et toi, tu étais juste lassée de cette routine qui te suivrait sûrement.

alors tu avais pris cette lettre que tu avais laissé sur le dessus de la cheminée et tu t’étais avancée vers le boudoir afin de te saisir d’un coupe-papier pour l’ouvrir. tu t’étais assise sur un vieux fauteuil qui appartenait, paraissait-il, à ton arrière grand père ; un grand homme d’après ton père. tu te souviens avoir ouvert la lettre sans t’en soucier vraiment, pensant ouvrir une énième lettre d’inconnus souhaitant faire ta rencontre dans l’optique d’une éventuelle correspondance qui se finirait par une relation plus intime… histoire de bien te changer de d’habitude.

c’est donc avec étonnement que tu avais constaté que c’était une lettre d’admission pour une école nommée « Poudlard ». tu souviens avoir légèrement douté en voyant écrit qu’il s’agissait d’une école de sorcellerie, mais pourtant, tout semblait très sérieux. tu avais lu plusieurs fois la lettre qui t’indiquait que tu y étais admise automatiquement… l’idée même d’aller étudier ailleurs que chez toi te tentait, mais cette décision ne t’appartenait pas et tu ne le savais que trop bien. tu avais donc rejoins ton père dans son bureau afin de lui en parler, de lui montrer cette lettre et comme tu t’y attendais, au début, il t’avait renvoyé sans ménagement en pensant à une blague de ta part.

tu avais du insister plusieurs jours de suite pour qu’il accepte de t’accorder un minimum d’attention, sans toutefois te croire. tu lui avais donc parlé de cette chose que ta lettre nommais « un portoloin » et tu avais dis à ton père que vous n’aviez rien à perdre en essayant de vous rendre sur ce « chemin de traverse » puisqu’il semblait que vous n’aviez aucune raison de quitter votre domicile pour l’utiliser. il fallait juste… « de la volonté » d’après l’auteur de cette lettre. il avait reniflé de dépit en raison de ta bêtise et soupiré en acceptant ta requête qui lui semblait inconsidéré et digne des fables pour enfants.

pourtant, après quelques instants, vous aviez fini par sentir que quelque chose était différent et c’est dans la panique que tu avais expérimenté pour la première fois un voyage par portoloin. sans réellement comprendre tout le processus que vous veniez de vivre, il était certain que vous n’étiez plus chez vous. certes, vous étiez encore en plein londres, mais tout était si différent que la ville que vous connaissiez. ici, les gens étaient habillés comme on pouvait s’y attendre de sorciers et plus que cela, différentes personnes de ton âges passaient d’un magasin à un autre vêtu d’un uniforme, sans forcément être entourés de leurs parents. les différentes enseignes vendaient des produits tels que tu n’en avais jamais vu et tout à tes yeux brillait pour sa nouveauté.

c’est à ce moment là que tout avait changé pour toi, non pas vis à vis de la magie qui prendrait désormais une grande place dans ta vie, mais vis à vie de tes parents qui commençaient à réaliser qu’ils avaient engendré une abomination et que cette même personne allait désormais vivre avec eux. jusqu’à ce que cette « école » t’accueille le temps de l’année scolaire. oh bien sûr, il ne te renieraient pas, après tout tu restais leur fille et s’ils le faisaient, si ton père le faisait, tout ce pour quoi il avait travaillé serait perdu à jamais. simplement, il était compliqué d’envisager une vie normale lorsqu’on est conscient que son enfant n’est plus ce qu’on connait.

alors dès cet instant, ils avaient pris la décision que tu ne vivrais plus au même rythme qu’eux. tu prendrais tes repas seule, avec une simple dame de chambre comme compagnie autorisée. tu ne te rendrais plus dans les appartements privés de tes parents comme tu le faisais avant quand tu voulais leurs parler. tu n’irais plus dans le bureau de ton père pour lui parler des missives que tu recevais. désormais, tu vivais la plupart de ton temps avec une heure de décalage sur le reste de la maison. mais pour faire bonne figure, quelquefois, tu mangeais à la table familiale afin que seuls vous trois soyez au courant de l’anomalie que tu étais. tu restais un bon parti et ton père n’avait pas cessé d’espérer qu’un stupide gamin fortuné s’entiche de toi pour pouvoir avoir la mainmise sur son argent.

certaines choses ne changeaient pas.

sauf toi.

maintenant, tu étais une sorcière, aussi bizarre que cela soit à tes yeux.


× le prénom « crane » vient de l’anglais et signifie « grue ».
× blanche sera bien une animagus, mais ce point là sera à développer in rp
× tout ce qui est… euh, lié à poudlard, genre des souvenirs de ses deux premières années et tout, ça sera dévelloppé inRP parce que je sais pas, on peut toujours avoir des liens avec des gens depuis la première année, et j’veux pas qu’il y ai des incohérences.


IRL

je suis toujours perdue quand je fais cette partie de la fiche c’est incroyable, je sais jamais quoi foutre dedans >>>:

du coup je suis azalys ça fait euuuh…… huit ans que je rp je crois ?? mais ça se ressent pas vraiment quand j’écris je dirais /crève/ je suis fraichement majeure - fin 2016 >>: - et ma seule réellement compétence c’est de grapher (8

est-ce que j’ai vraiment besoin de préciser comment j’ai connu le forum ?


Dernière édition par Blanche C. Hopkins le Lun 16 Jan - 20:20, édité 1 fois
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Ezra Owen Griggs
Fondateur
Ezra Owen Griggs
Animal de Compagnie : Serpent des blés
blanche crane hopkins × done Ze1h
Messages : 157
Fondateur
MessageSujet: Re: blanche crane hopkins × done   blanche crane hopkins × done EmptyVen 13 Jan - 19:35

Bouh ! Alors toi, toi ~
Que dire, j'ai terriblement pris peur en voyant la longueur de ta fiche. blanche crane hopkins × done 146337623
Mais en fait, elle se lit terriblement bien, ton écriture est d'une fluidité vraiment admirable, enfin voila, je suis sous le charme. Sans parler de ta petite Blanche qui est en soit vraiment réaliste. Je suis vraiment content que la répartition l'aie amenée à Gryffondor car étrangement, en ayant lu ça, je la voyais difficilement ailleurs. Serdaigle aurait été bien aussi mais Gryffondor lui va bien pour son développement futur. Du moins, c'est l'impression que ça me donne. Ce que j'adore surtout, c'est qu'on retrouve malgré tout un point de chaque maison et ça me fait terriblement rire parce que c'est vraiment le résultat du quizz que l'on retrouve. (Bonjour les résultats bien proches. xD)

Bref, je te valide avec un grand plaisir, je ne te demanderai pas d'aller recenser ton avatar ou ton don, je vais le faire de suite 8D
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Blanche C. Hopkins
Lionne Originelle
Blanche C. Hopkins
Messages : 54
Lionne Originelle
MessageSujet: Re: blanche crane hopkins × done   blanche crane hopkins × done EmptyVen 13 Jan - 19:45

Sans parler de ta petite Blanche qui est en soit vraiment réaliste.
→ Tant mieux parce que je te jure que j'en ai fait des recherches mon dieu... autant pour savoir quel type de robe elle devait porter, quelles danses étaient à la mode etc.... c'était long.

Ce que j'adore surtout, c'est qu'on retrouve malgré tout un point de chaque maison et ça me fait terriblement rire parce que c'est vraiment le résultat du quizz que l'on retrouve.
→ je suis fidèle à mon personnage que veux tu (((8

MERCI BEAUCOUP AAAH ♥

Je t'aime d'amour et tu le sais très bien blanche crane hopkins × done 2383224008

Dès que je sais précisément quel type d'animal elle devient, je te le dirais ♥
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MessageSujet: Re: blanche crane hopkins × done   blanche crane hopkins × done Empty

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blanche crane hopkins × done
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